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Est ce que ça t’es déjà arrivé, de sortir de ta zone de confort en mode super courageuse, pour au final, faire un énorme fail ?
Si c’est le cas, alors reste avec moi, parce que je m’apprête à partager une pépite sur ma vie.
La zone de confort, c’est celle que tu connais, et comme tu l’a connais bien, et bien, comme son nom l’indique elle est confortable.
Y’a aucun problème avec le fait d’être confortable, cependant un de nos besoins en temps qu’humain, c’est le besoin de croissance.
Je parle de croissance dans le sens ou l’on veut TOUS se sentir plus vivant, plus rayonnant et se réaliser au maximum dans cette vie là.
Plus tu reste bloquée par tes peurs, qui te gardent au chaud et dans ta zone de confort, moins tu es dans la réalisation de ton plein potentiel.
Et les plus grands leader de ce monde (ceux qui révolutionnent nos façons de faire ou d’être, ceux qui ont un impact positif sur le monde) disent bien que pour être là où ils sont aujourd’hui, ils ont du constamment prendre des risques.
En fait, plus on apprend à être ok avec le potentiel jugement des autres, avec la peur du rejet, de l’abandon et toutes nos blessures d’enfance, plus on s’autorise à sortir de sa zone de confort.
Parce que c’est ce qui se passe en fait, lorsqu’on commence à se mettre dans ce mouvement, c’est très inconfortable, parce que on peur de revivre nos trauma d’enfance, qui jusqu’à lors étaient présent mais dormants, puisque très probablement on a construit notre vie pour surtout pas en refaire l’expérience. De fait on prenait pas ou peu de risque.
Par exemple maintenant je me suis très confortable de faire des stories. Sur instagram face caméra. Je sais pertinemment que certains me juge, que certains pensent que je suis nulle ou ridicule, ou j’en sais rien on une opinion négative de moi, et si je suis très honnête avec vous je peux encore sentir dans mon corps le “oh non, c’est douloureux” cette blessure de rejet, et à la fois je fais le choix conscient de ne pas agir sur cette blessure, parce que si j’écoute au fond de moi, j’ai envie de partager ce que je partage et j’ai envie d’avancer vers mes rêves.
Plus je fais ça, et plus je suis en mode “I don’t give a fuck”, un peu comme le livre de Mark Manson “L’art subtile de s’en foutre”. Qui est une méga recommandation si vous ne l’avez pas lu.
Donc bref, je vous encourage vivement à sortir de votre zone de confort, parce que c’est là qu’on trouve cette croissance de vie.
Le truc c’est que lorsque tu sors de ta zone de confort, tu veux en tirer une expérience qui est globalement positive et qui permets d’enseigner à ton système nerveux, quand on prend un risque c’est cool. Il se passe des bonnes choses.
Et c’est vrai, que lorsqu’on parle de sortir de sa zone de confort, quand on voit sur le réseau sociaux ou quand on entends l coach, on évoque souvent le kiff et l’expérience positive, au lieu de montrer le chemin qui est bien souvent plus compliqué que ça.
Alors, c’est là ou je vais vous raconter une petite histoire d’une de mes sorties de zone de confort qui s’est passé tout à fait comme je le voulais.
J’essaye constamment d’améliorer la façon dont j’enseigne le yoga, j’assiste à des stages et je mets des challenges personnelles pour sortir de ma zone de confort.
D’ailleurs, je pose ça là, mais j’ai ouvert les portes de mon 30H de formation de yoga au Satnam Club à Bordeaux en Juin, plus d’information sur mon site internet ou sur celui du SATNAM CLUB 🙂
Donc, un de mes challenge et ça c’était y’a des années, c’était de chanter des mantras pendant mes cours. J’avais envie de chanter moi, lorsque les gens sont a la posture finale de Shavanasa. Parce que j’avais fais un cours dans lequel la prof avait fait ça et j’avais vraiment trouvé que ça ajoutais une belle dimension au cours.
Donc, fin d’un cours de yoga à Chamonix, je me dit go: et je commence à chanter alors que tout le monde est full relax à la fin du cours.
Guru Dev Naaaamoo (première essaye, je rate ma note). Mais je me dis, c’est pas grave, prochaine fois tu vas y arriver.
Deuxième essaye, Guru Dev naaaammmohh. même chose:
Troisième essaye un destatre.
A ce stade, je sens que les gens en shavasana se disent : “Aller tu peux le faire”, mais que ça soit à la quatrième ou a la cinquième fois, impossible de passer cette note.
Donc je finis le cours et puis je m’excuse parce que j’ai un peu l’impression d’avoir saboter leur shavanasa. Ce qui est bien en yoga, c’est qu’il y a beaucoup de bienveillance, donc évidement tous le monde était en mode “its ok” mais comment te dire que ces 3 personnes ne sont jamais revenue.
Voilà et puis moi évidemment je me suis dit: Well that was bad et j’avais juste pas envie de refaire cette experience et il m’fallut des années en fait juste fin 2021, pour reprendre le chant en cours.
Et y’a quelques trucs qui m’ont aidé donc, voilà 2 bon rappel sur la zone de confort qui peut s’appliquer à tout les niveaux de ravie et surtout si tu es un peu démotivée en ce moment, this is for you… =
Le premier c’est de comprendre, que si tu sors de ta zone de confort, faut pas s’attendre à être extra ordinaire. Enfin moi j’avais pas chanter depuis super longtemps, mais dans ma tête, j’allais chanter comme un rossignol.
Non, quand tu fais les trucs pour la première fois, c’est jamais ou rarement dingue.
Souviens toi de la première fois que tu as roulé une pelle.
Voilà, c’est un exemple qui devrait t’accompagner.
Donc sois ok avec le fait que tu vas être pas ouf ou moyenne.
Pareil quand je propose dans mes cours de postures un peu avancé qui demande clairement de sortir de sa zone de confort, là plus part du temps ce que les élève font c’est pas WOAHOU, mais ce que je kiff et ce que j’aime voir au de la de la posture parfaitement réalisé, c’est l’énergie que la personne mets pour progresser.
Ça, c’est inspirant.
Je sais parce que moi aussi j’ai une pratique de yoga et quand mon prof me demande de faire un truc qui me parait impossible pour moi j’ai toutes ces croyances négatives et ces peurs qui me bloquent: “eh non ça c’est pas pour moi” ou je pourrais jamais faire ça. Et en fait dès le moment ou je drop tout ça, je mobilise une Energie en moi qui me permet de grandir intérieurement.
Ça c’est premier conseil, c’est : sois ok avec le fait d’être pas ouf.
Le deuxième conseil, c’est de créer du momentum. Parce que bien souvent, on sors de notre zone de confort une fois et on se dit: “ok bon ça s’est fait, phew je suis pas morte et pour un peu personne ne verra trop ce que j’ai fait donc tout va bien.” En mode je sors de ma zone de confort mais je m’auto sabote quand même parce que j’ai pas envie d’être trop vue.
Ça marche pas comme ça. Pour vraiment faire l’expérience d’une croissance positive, il faut sortir de sa zone de confort régulièrement pour créer du momentum et qu’au bout d’un petit moment, cette espace qui était inconfortable devienne ta nouvelle zone de confort. Tu comprends ?
Donc si tu as une expérience négative, c’est pas grave tu recommences, poses toi les questions qui te permettent de t’améliorer et si tu bloques sur quelques chose tu peux aussi te faire accompagner.
En tout cas, si tu tombes, remontes cheval assez vite car sinon ça prendra des années, comme moi en chant et c’est pas ce que je veux pour toi.
Voilà pour aujourd’hui, je te remercie grandement d’avoir suivit cette entrée du journal de bord et si les épisodes te plaisent merci de les partager sur Instagram en me targuant pour que je te reposte évidemment.
Keep going with your dream.
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